Archives des NEWS !
Samedi 7 : Jean-Luc, le voisin de Papi Bilou, copain de Papa et Maman vient aider Papa à installer le nouveau liner dans notre piscine. C'est un super bricoleur et il est très serviable, on peut toujours compter sur lui, il est vraiment très doué et brave. A midi il mange avec nous, c'est notre premier repas (avec invité) sur la terrasse, au soleil : 36 °. Et ils terminent la besogne
Maman profite de la présence de Jean-luc pour demander de "virer la remorque du bateau qui encombre l'allée depuis plus de 3 ans, elle ne sert à rien ici, elle géne et ça fait moche ! mettez là en bas du jardin" Papa, à bout de force se plaint alors que Jean-luc la porte tranquile ! on rigole bien !
A peine Jean-Luc est reparti de la maison que le liner de la piscine, qui se remplissait lentement, se détache... papa est énervé... il va falloir le rattacher ! Jean-Luc revient lundi ! pfuu ! décidément avec cette piscine, y a toujours quelque chose qui va pas !
Dimanche 8 : Maman et moi allons à la Messe de Pâques à la Chapelle Notre-Dame. Papa m'accompagne en voiture un peu en avance pour que je garde nos places puis Maman... on retrouve le jeune curé Félicien qui nous bénit entre tous les paroissiens. On rentre à pied avec Marie, ma voisine (aussi camarade de Judo) et... c'est la Chasse aux oeufs, Papa en a caché un peu partout dans le terrain : dans la boite aux lettres, dans la boite à colis, derrières les lumières extérieures, les buissons... je les trouve tous... Miam !
En fin d'après-midi, on plante notre potager : courgettes rondes de Nice, longues rampantes, demi-longues... tomates cobra, poivrons, grappe, cerise...
Papa a déjà planté des salades feuilles de chêne et de la mâche, des blettes, des choux blancs et rouges et du fenouil depuis deux semaines
D'abord Papa m'apprend à manier le motoculteur... c'est dur ! j'ai les bras cassés ! Cabotte observe et surveille...le résultat est satisfaisant ! Bien joué !
Je plante mon premier plant de tomate sur une planche déjà labourée...2, 3...
Maman va chercher Jean Michel et William à Juan les Pins, ils viennent prendre l'apéro à la maison. William nous raconte ses dernières vacances dans le Pas de Calais, dans sa famille... Ricard et biscuits apéritifs, tranches de saucisson, saucisses... super !
puis les courgettes... toujours sous l'oeil attentif de papa et de "Cabotte" qui attend qu'on lui lance les cailloux qui nous gènent ! ...et maman arrose nos plantations avec soin et méthode... c'est elle qui mangera presque tout car c'est juste ce qu'il faut pour son régime et elle tient à rentabiliser l'affaire !
Dimanche 1er : Tatie, Maman et moi allons à la Messe des rameaux à la Chapelle Notre-Dame ; notre curé, le père Chambon qui supervise le caté du mercredi est toujours souffrant, il a été opéré du dos, alors c'est le jeune curé africain Félicien, qui fait ses classes, qui nous bénit nos rameaux (des branches de l'olivier de notre jardin).
Mercredi 4 : Centre aéré ! et quad en rentrant à la maison !
Jeudi 5 : ce soir, on va à l'église Ste Anne en cette semaine sainte, pour la Messe, récit de la Cène précédant la trahison de Judas... le lavage des pieds
Cabotte est pleine d'herbes qui collent et de "pignolos", elle est "verte" mais contente, papa commence à fatiguer il est déjà courbatu des efforts d'hier, moi, j'en peux plus... on se dit de concert "et ben dis donc, ils sont vraiment courageux et costauds les paysans ! parceque nous on a planté 3 douzaines de pieds et on n'en peux plus !" ...on va bien dormir ! et fiers !
Lundi 9 : Papa et Jean-Luc retire le liner de la piscine... maman les saoule de ses pressentiments, de ses mauvais présages... qui sont presque des menaces pour papa : "si cette piscine se troue encore, j'en ai pour 5 minutes à démonter la structure, je la vire et
j'achète la piscine que je voulais déjà l'an passé... je te rapelle que l'année dernière, on a passé tout l'été avec une piscine vide ! et il a fait super chaud ! ça va pas être comme ça cette année encore car l'été promet d'être encore chaud !"et moi, j'ai hâte de me baigner, alors, je vais déjà me tremper les pieds ! Et Maman demande à Jean-Luc de réparer le bricolage raté de Papa dans la cuisine... un trou !
Mercredi 11 : ce mati : Caté... et cette après-midi : Caté ! mais c'est une réunion spéciale pour la préparation de ma communion prochaine.
Jeudi 12 : tous les enfants des écoles de Vallauris participent à l'épreuve de "Course longue" ; il s'agit, par classe de faire 8 fois le tour du stade en courant... soit 1800 m ! je voulais pas la faire, je cherchais des excuses, j'ai même prié pour qu'il pleuve et que cette manifestation communale à l'initiative du ministère de l'éducation nationale soit annulée... mais non : temps nuageux, mais pas une goutte... et une maitresse impossible à attendrire tant elle était motivée... elle nous encourage, crie au bord de la piste... et finalement on y arrive, j'y arrive... jusqu'au bout ! crevé, mais finalement fier. Je reçois du Service des sports de la ville une "Attestation de Réussite" (signée par le Maire et l'adjoint délégué aux sports)... Maman avait raison de me dire ce matin en m'accompagnant à l'école : "il faut essayer, il ne faut pas partir du principe que c'est perdu d'avance ou que c'est impossible... que tu n'y arrivera pas... si ça se trouve c'est tout à fait à ta portée ! tu verras bien ! je suis sûre que tu seras bon ! courage !" un gros bisous et voilà... ce soir elle me félicite, elle est fière de moi : "tu vois !?!"
12 avril, c'est le 26ème anniversaire du décés de mon arrière-grand-père, Pierre, qu'on appelle "Papi Pierre" pour le distinguer de Papi (Dédé) et dont je parle avec tendresse et fierté, bien que je ne l'ai pas connu de son vivant, mais dont je connais la vie, l'enfance, le parcours (la guerre, le restaurant et la plage du Tiercé) au travers des récits de Maman, de Papi Dédé et de Tatie... et je sais quel homme bon et courageux il était... tous ici y pensent souvent...

Vendredi 13 : ce soir, c'est la quille ! les vacances de Pâques (...après Pâques !) je suis super content... du coup, j'ai pas envie d'aller au Judo... j'ai eu un trimestre fatigant... épuisant, exténuant !... et un bon carnet :
je les mérite bien mes deux semaines de repos ! mes congés payés !
bon, c'est vrai qu'il y a un mois, je rentrais de vacances de ski...
mais tout de même, la vie d'écolier, c'est pas facile : on est accompagné devant l'école, on travaille 1 heure et 1/2 et on est en récré durant 20 mn puis on reprend durant 1 heure et 10 mn... et grande récré d'1/2 heure, puis on va à la cantine dans le bloc d'à côté, on n'a rien à faire, on se sert, on déjeune entre copains, on laisse tout en plan (pas de vaisselle et en plus on paye pas !)... et pour faciliter la digestion on va se dégourdir les jambes, jouer, papoter, embêter les filles pendant 1 heure et on retourne en classe pour 1 heure et 1/2 et encore récré de 20 mn et on retravaille durant 1 heure et 10 mn... et on vient nous chercher au portail...
elle est pas belle la vie !?! on n'a pas besoin de se syndicaliser ! on n'a pas à se plaindre... on est loin des 35 heures et on a plus que 5 semaines de congés par an... et on risque pas de se faire virer même si on n'est pas productif, même si on glande !!!! un peu comme des fonctionnaires !

Samedi 14 : on va chez Tonton Michel et Tata Colette un petit moment, puis chez Pépé Jo et Mémé Dina... avec Cabotte qui a tiré le tapis du chat de la chise, l'a foutu par terre et a pissé dessus ! Pépé est mort de rire, Mémé rigole mais rouspette un peu quand même. On monte tous au jardin voir les plantations de Pépé. On part, on passe prendre à manger au Quick et on file à Botanic à Mougins... chercher tout le reste du matériel pour le bassin. On rentre et on installe la pompe filtrante, les produits, les plantes et les 3 poissons rouges (enfin 2 rouges et 1 jaune) que l'on nourrit.
Papa pêche une rainette dans la piscine... il l'a vu monter par l'échelle... et il l'installe dans la végétation... une grenouille verte dans les plantes vertes... Pas vue !
On reste à la maison car on attend le retour de Papi Dédé et Mamia qui rentrent de croisière de Dubaï. En milieu de journée, Papi laisse un message à Papa l'informant que leur avion de Paris a 5 heures de retard, et il promet de nous rappeler dès qu'il sera en mesure de nous indiquer le moment exact de leur arrivée initialement prévue vers 14 h... donc depuis, j'essaye toutes les heures de le joindre au téléphone, je laisse des messages, Papa aussi, il lui demande de bien vouloir nous appeler dès qu'ils seront à l'aéroport ; toute l'après-midi, on tombe sans arrêt sur le répondeur. Il est 18 h 50, on est prêts depuis longtemps et enfin on se dirige vers la voiture pour filer à Nice quand Maman tente à tout hasard de joindre Papi qui répond, lui annonce qu'ils ont déjà atteri à Nice... et qu'ils sont déjà dans le taxi qui les ramène à Cagnes. On est très déçu d'avoir attendu toute la journée pour rien et être encore privés de l'événement qu'on espérait tant, une fête pour moi... encore une fois gâchée par l'incroyable sens de la désorganisation de Papi et sa performance à toujours détruire les plannings, les engagements à sa guise, sans avertir les personnes impliquées... De plus, si Maman n'avait pas eu le pressentiment que Papi serait bien capable de ne pas donner suite à ses propres instructions (je vous appelle pour vous tenir informés) et décidé d'agir à l'inverse de ce qui est prévu, on serait allés jusqu'à l'aéroport pour rien, on aurait attendu dans l'ignorance pour rien. Finalement son argumentaire invoqué de "ne pas vouloir vous bloquer et vous déranger" est nul et non avenu car si on s'est tenus prêts toute l'après-midi, c'est qu'on le voulait bien et surtout qu'on était impatients d'aller les accueillir... en fait on aura été effectivement bloqués, presque dérangés... mais pour rien : bravo Papi !
Maman exaspérée par ce type d'agissement quasi systématique lors des moindre déplacements (que ce soit pour les départs en vacances, les escapades, le resto, sur un rallye, ou même aller à Nice ou à Cannes... venir à la maison...) il y a toujours un quack : déjà, il n'est déjà jamais à l'heure, mais surtout ne prévient pas, n'avise pas de ses changements de plannings... et tout le temps on attend, on a quelquefois déplacé des rendez-vous ou mis en attente des activités pour être disponible durant une tranche horaire plus ou moins déterminée, mais on attend pour rien... Papi ne se donne pas la peine de prévenir, ignorant lui-même le parcours qu'il va ou non emprunter, s'il tente le coup d'y aller ou renonce... mais le problème c'est qu'il tient secret son choix... s'il est questionné par la personne "coincée" qui s'impatiente ou s'inquiète, il dit qu'il arrive dans m minutes ou h heures, mais ne vient jamais ; il ne daigne toujours pas le faire savoir, estimant sans doute que c'est sans conséquence, alors qu'un simple coup de fil annulant, ratardant ou différant peut permettre à la personne "bloquée" d'effectuer ses occupations prévues ou de les adapter, tout en se débrouillant à demeurer à la disposition de Monsieur dès qu'il arrivera. Personne de son entourage proche n'ose lui refuser un rendez-vous, même s'il a de forte chance d'être manqué. Mamia et Maman tiennent une liste impressionnante d'heures vides à attendre, n'osant se déplacer ou commencer une autre activité pour rester entièrement disponible au moment où...
Mamia perd plus vite patience et rompt l'attente pour vaquer à d'autres occupations prenant ainsi le risque de se voir afflublée de toute la responsabilité des conséquences de son retard à lui... car en plus ils sont tous deux peu précis dans leurs directives et peu efficace dans leurs échanges d'information...ils cumulent les incompréhensions...
Maman qui attend souvent Papi une journée entière et quelquefois les suivantes dans l'objectif et la motivation de l'aider à rédiger un courrier, est agacée par tant de temps perdu et cette constante impressiont d'être ignorée.
Tatie qui passe sa matinée à lui préparer un bon repas parce qu'il a dit qu'il passerait tel jour, mais ne s'en souvient plus ou a prévu autre chose et ne vient pas ; alors il reste détaché et peu bouleversé face aux reproches de Tatie ,déçue et inquiète, lorsqu'elle l'appelle à midi passés...
C'est vrai, ce n'est pas grave... mais c'est irritant, blessant... navrant.
Du coup, Maman très énervée par ce manque probant de logique vient de prendre la décision, cette fois irrévocable, de ne plus rien prévoir ou coordonner avec Papi et Mamia le moindre rendez-vous, car elle sait et ne supporte plus que ce soit imanquablement détruit et pour la méticuleuse et organisée qu'elle est c'en est trop. Désormais sans pour autant lui refuser de se mettre à son service, elle tentera toujours de se libérer en fonction de ses demandes... mais ne lui accordera plus de long retard non signalé et de délai de différé non respecté... plus d'approximatif négligé et d'oubli abusif.
tanpis pour lui, et puisque te toute manière il ne s'excuse jamais et ne prête pas attention à l'autre... elle ne devrait pas céder au sentiment de culpabilité qu'un jour Papi se trouve sur le fait d'être arrivé trop tard ; Maman doit admettre que ce sera ainsi qu'elle obtiendra respect et considération.
Bien qu'il soit capable d'annuler un rendez-vous à la dernière minute (sans compassion pour la personne en charge des plannings et prendre conscience des conséquences sur l'organisation de la journée de toute une équipe), qu'il s'octroie l'impolitesse d'être raisonnablement en retard avec les avocats, notaires, financiers... il s'oblige à ne pas se comporter plus efficacement, prévoir large... quoiqu'avec le temps, quand il est moins impressionné par le personnage, il prend petit à petit ses aises sur la flexibilité des horaires...
Tout son entourage en a pris l'habitude, lui pardonne, mais c'en est trop.

Dimanche 15 : ce matin, quand Maman rend visite à ses nouveaux locataires aquatiques, elle s'étonne de n'en compter que 2. Un poisson rouge manque à l'appel ! Papa et moi confirmons le fait, mais apportons notre témoignage "tôt ce matin, ils étaient encore 3" : ensemble nous menons l'enquète, la possibilité d'une fugue étant écartée (!), il ne s'agit pas non plus d'un suicide, car les investigations menées n'ont pas trouvé le corps de la victime à l'extérieur... la thèse de l'enlèvement est privilègiée, mais rapidement on doit constater le meurtre au vu des indices retrouvés alentour du bassin : des traces de petits pas boueux sur les parois du bassin et quelques écailles dans l'herbe, c'est la scène du crime... l'autopsie confirme l'identité de la victime.
Maman observe le comportement de Lydie qui est alors éléminée de la liste des suspects potentiels ; les présomptions portent sur :
- le chat du voisin d'en bas, un siamois peu farouche (il est souvent dans le jardin potager, rentre les nuits d'été dans la chambre de maman
et vient à tout moment provoquer, narguer notre chienne Lydie qui surprise et épatée par tant de culot réagit tardivement à se lancer à sa poursuite qui se trouve vite compromie par les balustres et les hauts murets des restanques que le chat dévale, lui avec rapidité et agilité...)
- un magnifique chat tricolore, du quartier, qui est venu il y a une dizaine de jours repérer les lieux, en compagnie du siamois ; en effet, Maman les a surpris tous les deux assis tranquilement sur la terrasse, à proximité du bassin alors inhabité mais déjà un peu en eau, par les pluies successives... absolument pas effrayés ni même attentifs aux invectives et menaces que Lydie leur criait à travers la vitre, nous fixant imobiles, imperturbables.
L'enquète déterminera leur degré de complicité et établira lequel du sérial killer ou du copy cat est le coupable.
Toutefois, aucune autre piste est écartée (tourterelles, pies, mouettes, écureuils...) une fois la mort naturelle exclue puisque le cadavre n'est pas dans le bassin et que des restes soot hors de l'enceinte vitale.
Des mesures ont été prises pour offrir une résidence protégée aux rescapés, encore sous le choc... un renfort de sécurité est immédiatement mis en place.

déjeuner sur la terrasse à midi... Papa a acheté 3 nouveaux poissons rouges (un peu plus petits, mais avec des voiles
et plage du Ponteil l'après-midi, cette fois, il y a plus de monde et notamment une famille avec des gosses très bruyants notamment un certain "Rémy" qui hurle sans arrêt, à chaque fois qu'il ouvre la bouche, dans l'eau, au bord de l'eau, sur la plage... il n'arrête pas de crier et d'appeler son cousin... il nous gonfle, Maman a un de ces mal au crâne ! elle n'arrive pas à lire. Pascale écoute la musique... mais l'entend !

Lundi 16 : on attend avec impatience Pascale (la fille d'un premier mariage de Pierrot, l'oncle de papa, époux en seconde noces de Chantal, ma marraine, décédée l'an passé) et sa fille de 7 ans, Valentine. Elles arrivent à 14 heures passées (le TGV a eu plus d'une heure de retard... manif sur les voies à Marseille... !). Il fait très beau, très chaud... on monte à la maison poser leurs valises et...
on va à la plage à Juan les Pins, à Bijou Plage.
Et déjà, on se baigne, elle est froide, mais on est courageux... nous les gosses
Ce soir, on dîne sur la terrasse... super ! et feuilleton "Plus Belle la Vie" entre Valentine, Pascale et moi... et ensuite chacun chez soi pour le film.
Vers 22 h 30, Pascale et Valentine passent par dehors pour rejoindre leur dortoir (ma chambre) pour ne pas déranger Papa qui dort.
En arrivant à la maison Papa et Maman rangent les courses que Papa est allé faire comme un grand avec une liste très succincte, il s'est bien débrouillé a commenté Maman... Et "à table" sur la terrasse, avec petit gilet (à cause des coups de soleil) puis feuilleton, chez Tatie cette fois et on regarde les Experts Miami avec Maman puis je vais me coucher chez Tatie... et les filles ressortent incognito avec leur lampe électrique... lol !
Mardi 17 : petit déjeuner sur la terrasse à 7 h 30... Valentine se lève tôt ! plage à La Salis le matin, à midi déjeuner sur la terrasse et encore plage au Ponteil l'après-midi... sympa, belle vue carte postale sur le vieil Antibes ! il y a Mathieu, un copain de Judo avec qui on joue un moment mais comme il nous embête Maman puis Pascale le calment un peu et il part enfin ; je vais nager jusqu'aux bouées, je suis le seul dans l'eau si loin !
On part vers 16 h 30... on a faim, on n'a pas pris de goûter...
Mercredi 18 : plage Bijou Plage le matin à 9 heures... on est seuls... la mer est calme "comme un lac", c'est paradisiaque !
on retrouve des personnes âgées de l'année dernière qui nous ont reconnus... On fait des pâtés, on joue à cacher le ballon... Il y a un photographe avec une mini mongolfière pour faire des photos aériennes. Il fait très très beau !

Jeudi 19 : ce matin, il ne fait pas beau, on a déjà froid en petit-déjeunant et quand on arrive au parking du Port de la Salis Felix, un copain de Papa nous dit que le ciel va se dégager d'ici peu, mais à la Plage de la Salis, il fait 17°, on est frigorifiés et on voit que le soleil a percé vers Cagnes sur Mer. Donc, on prend la voiture et on se retrouve sur la plage de l'hippodrome à Cagnes sur Mer. Je vais à pied au Tiercé, saluer mon Papi Dédé et je retourne vers les filles qui se sont réchauffées... Vers midi passé, on va tous voir Papi Dédé, on visite l'appartement et Papi nous invite à boire un coup chez Gaëlle (le petit resto en bas, sa cantine) et Papi commande le plat du jour "Gnocchi au Chèvre et Basilic", j'attend qu'il soit servi et je goûte et finalement Maman me propose de rester avec Papi, du coup je commande le même plat du jour et les filles rentrent déjeuner à la maison. Papa est en train de débrouissailler les restanques. Il a encore acheté des poissons rouges, 5 de différents coloris. Papi me raccompagne vers 14 h 30, il reste un moment avec Tatie et va à Castorama. Nous, on va à la plage de la Salis, il fait pas super beau, mais ça va. Valentine et moi on est dans l'eau en moins de deux... Pascale et Maman se dandinent, secouent la tête, battent la mesure du pied chacune à leur rythme avec leur MP3 respectif, l'une en bikini plein soleil (touriste normale), l'autre habillée (elle a dû attrapper la crève ce matin et ne préfère pas prendre de risques, elle a encore des frissons), lunettes de soleil, casquette... et livre... installée avec double serviette et double oreiller (faut c'qui faut !) jusqu'à 18 h passées... douche, dîner, feuilleton... et "Navarro" dans la chambre de Maman qui raconte nos vacances sur le site, là en ce moment même Valentine et moi attentifs et Pascale qui regarde le film d'un oeil seulement... ! ronronronron et Tatie qui téléphone à 9 h 59 "alors, il monte Anthony ? il est dix heures, je ferme moi !" et voilà je verrai encore pas la fin du film et demain, elle va mettre son réveil à 6 h 30 et dormir toute l'après-midi... ! grrrrrrrrrrrr !

Vendredi 20 : c'est l'anniversaire de Papi... on dépose Pascale et Valentine à la Plage du Ponteil et on file vers Cagnes sur Mer. Maman s'arrête pour acheter des cadeaux (le dvd de "Gérarld Dahan" et le cd des 4 ténors "il Divo") et on va au Tiercé les lui offrir. D'abord Papa et Papi changent les roues du Picasso (Papi utilise une croix pour dévisser les écrous des roues "Sam" qu'il a et utilise avec dextérité depuis plus de 40 ans, avant même d'être gérant de la Station Shell de la Batterie à Cannes). Nous allons nous déshaltérer et c'est le moment d'offrir les paquets à Papi. Puis nous laissons Maman et allons charger du carrelage avec la remorque. Au retour, nous passons par Castorama et enfin nous récupérons les filles de la plage .

Pascale nous offre une glace parce qu'on a encore oublié nos goûters...
on part vers 17 h 30 : douche (avec lait spécial coups de soleil !), dîner, feuilleton chez Tatie, puis "Les Experts Las Vegas" avec Maman et dodo chacun dans sa chambrée...! Papa ronfle déjà...
Samedi 21 : le matin, maman nous accompagne à la plage Bijour Plage et en profite pour préparer les valises à la maison, c'est papa qui nous récupère vers midi ; on mange et on repart à la plage (la dernière bronzette !) de la Salis jusqu'à presque 18 h... on fait durer !
Douche, feuilleton, dîner....

la route se passe bien, il fait déjà chaud, heureusement qu'on a la clim !
On est à peine arrivés à Aix en provnece qu'on s'arrête déjà pour casser la croute... les sandwisches préparés par Pascale et Papa : Miam !
Cabotte est très sage, Valentine aussi... Pascale somnole entre deux jeux de "baccalauréat" (auxquels même Papa participe !)

On arrive à la sortie de péage de Tournus ; les parents de Pascale nous y attendent et "chargent" les filles et leurs bagages, c'est le moment de se quitter... et oui c'est la fin des vacances, mais seulement pour Pascale qui travaille dès demain matin à 6 h, Valentine part à Paris avec son papa mercredi et nous, nous allons à Sennecey-le-grand pour une semaine de vacances à l'air, à la campagne, dans le calme et la verdure (et oui, tout le monde nous envie d'habiter "juan les Pins" mais nous on adooooooooore la Bourgogne, ses vallées verdoyantes, ses vaches, ses vignes... !
On est à sens, chez Mémé, vers 17 h, on s'installe et déjà Pierrot (l'oncle de Papa, époux de Chantal, ma marraine décédée l'an passé, soeur de Mamiaia, la mère de Papa... père de Sylvie et Franck, les cousins et cousines de Papa et tonton Sébastien, frère de Papa) arrive en voiture pour nous souhaiter la bienvenue, Maman est très touchée par ce geste de sympathie et de savoir-vivre... et heureuse de le trouver bien portant.
Plus tard Franck, son fils, le cousin de Papa arrive : un petit apéro !
Il nous présente ensuite sa nouvelle copine, Stéphanie, elle est très jeune et travaille en centre aéré, elle vit désormais avec franck dans la maison à côté, et a une chienne labrador qui s'appelle "Biscotte" et qui s'entend très bien avec Simba, le chien, bouvier des flandres, de Franck ; Audrey avec qui Franck s'était marié il y a 2 ans et avec qui il a un petit garçon de 4 ans, Nathan, mon petit-cousin, a quitté le domicile en janvier et habite désormais à Chalon... Franck a demandé la garde de Nathan et cStephanie semble bien s'en occuper et le couvrir de tendresse... il a changé, il est très souriant et "comme il parle bien, c'est fou comme il a grandi..." on se fait des bisous, on est contents de se revoir... on va bien s'amuser ensemble.

On dîne et on regarde la télé : les résultats du 1er tour... ouf !
maman fait la vaisselle (en sifflant !!! grâce aux 30.5 %) et au lit !

Audrey nous demande de lui apporter Nathan à Chalon, à Carrefour, au magasin où elle travaille ; alors on va le chercher à Marnay où il est avec son père, depuis ce matin, Franck construit un muret avec les frères de Stephanie, chez l'un d'eux... mais le mur est bien bas lorsqu'on arrive à 14 h et on les trouve attablés... un verre à la main ! no comment !
Nathan est bien gentil en voiture (il s'est bien assagi depuis cet été !) et il traverse le magasin en courant pour se jeter dans les bras de sa mère qui s'apprête à débaucher pour l'emmener au toboggan... on papotte un moment et on se ballade dans Carrefour et on va se ballader en campagne :

Ce soir, on est invités chez Jean-Luc et Sylvie... Pierrot nous rejoint. Papa et lui s'occupent d'allumer le barbecue en attendant l'arrivée de Jean-luc qui vient de St Etienne... pendant ce temps Justine, Louis et moi, on fait les fous dans la piscine et les vaches du frère de Jean-Luc, dans le champ voisin nous regardent, curieuses, amusées... presque jalouses...
peut-être se sont des bimbos blondes réincarnées... ah ah ah !

et on va à Tournus, dans le magasin d'usine de Tefal, on achète une série de casserole en inox et un gauffrier/croque-Mr... On rentre à sens et on trouve Audrey qui attend de l'autre côté du portail de la maison de Franck (son acien domicile d'ailleurs) elle est venue chercher Nathan et avec Papa, ils essayent en vain de faire rentrer le canapé dans sa voiture... Audrey et Nathan s'en vont vers midi et Papa et Maman réclament à Franck de nous offrir un verre (et quelques cacahuettes)
On va déjeuner (escaloppes à la crême est fetuccini : miam !)
puis en début d'après-midi on va à la Cave à Buxy,

déjeuner tous les trois et en route pour Autun (on passe d'abord chez Pierrot, qui nous prête son GPS)... on va rendre visite à Germaine Montacharmont, une mémé de 87 ans qui accueillait à "la Grande Verrière" près d'Autun, Maman lorsqu'elle était petite, tout l'été (quand Papi Dédé et Mamia travaillaient 7/7 jours, de 5 heures du matin à 22 heures d'avril à octobre, à la Plage du Tiercé).

Pascale s'en va nous promettant de revenir peut-être en mai et certainement en juillet. Papa va me chercher du carburant... je suis en rade... j'ai vidé mes 10 litres !
Je fais du Quad, je rentre dîner en tête à tête avec Maman... papa est parti avec Jean-Luc jouer au foot (vétérans de Laives contre vétérans de xxxxxxxx)... et je retourne faire du Quad jusqu'à 21 h, je fais faire des tours à Raphaël, à xxxxxxxx jusqu'à ce que Maman doive se planter au centre de la place pour me stopper ! on regarde la télé et on va se coucher...
quand papa rentre il est presque 2 h 30 ! il se couche et ronfle !!!!!!!!!!!!!!

On part vers 11 h, on passe à Attac prendre des fromages de chèvre pour Mamiaia, Papi Bilou et Mémé et en route... bouchons, chaleur, pauses...

je renverse la soupe dans le sac isothèrne, fait une reflexion machiste et irrespectueuse envers Maman qui se fâche et me fait la gueule durant tout le reste du voyage et reprend les propos très désobligeants que j'ai eu envers elle (elle est très vexée, blessée et n'est pas prête de laisser passer mon comportement qui s'est empiré depuis quelques temps, notamment dans le vocabulaire et l'attitude "genre Papi Dédé")... du coup elle refume !
Arrivée à 17 h 30 : Papa décharge la voiture, Maman range au fur et à mesure, fait déjà tourner la machine à laver... je fais mes devoirs :
c'est fini les vacances ! et je tente de régler ma télé, du coup je débranche tout, Papa essaye de comprendre le sytème durant 40 secondes et somme Maman (qui est occupée à laver à la main) de venir nous débrouiller le sac de noeuds, elle refuse constatant qu'on a débranché tout ce qu'elle avait pris la peine de brancher avec l'aide des notices... et ils se disputent très très très fort... du coup Maman s'enferme dans sa chambre encore attaquée par des propos méchants à son envers. Moi qui lui dit qui lui ai reproché d'avoir mis une brique de soupe ouverte, bien que refermée et positionnée visiblement dans le bon sens pour me dédouanner de ma maladresse alors qu'elle venait de m'interdire d'ouvrir ledit sac... fait remarqué que c'est Papa qui paye les courses et pas elle... qui ai ensuite protesté et affirmé que je préfèrerai vivre chez Papi Dédé et Mamia... parce que eux ils me laissent tout faire et ne me grondent jamais... Papa lui jette ce soir à la figure qu'elle n'a rien à redire à ses ordres, qu'elle se doit de régler la situation pour me satisfaire... puisqu'elle est à l'ANPE ! elle lui rétorque qu'elle continue à régler les factures d'éléctricité, de téléphone, d'Internet, de portables, de cantine, de mutuelle, d'étude, de collections d'encyclopédies, d'habillement, d'équipement électroménager... et lui rappelle que Papi paye le loyer, les voitures, les révisions et les assurances !
rien que des faits réels.
et Papa l'insulte...la menace...
du coup, je suis dans mes petits souliers et vais demander pardon à Maman qui, très énervée, m'envoye sur les roses... plus tard, j'en suis bouleversé et l'implore de me rassurer sur son amour pour moi, alors au téléphone... elle me dit oui mais le coeur n'y est pas, je le sens, je me plains qu'elle pense que tout ça est à cause de moi, encore...elle me le confirme avec nuances et argumentation : elle me rappelle ce qui s'est passé et ironise en me demandant si c'est elle qui doit s'excuser ! je pleure, la culpabilise...
elle dit alors que m'aimer c'est m'apprendre à bien me conduire, et rajoute qu'elle pourrait faire comme Papa et Papi : me laisser mal me comporter, me tenir à table, en voiture, dans les magasins, chez les gens... et se mettre aveuglément à mon service, ranger au fur et à mesure que je dérange sans rouspéter, passer derrière moi après chaque action (grignotage, toilette, lecture...) comme c'est déjà le cas, mais sans rien me reprocher, éliminer tout règlement et autorité... plus de "range", "referme", "éteint", "ramasse"... elle rajoute que puisqu'eux sont formidables, gentils, aimants... elle devrait se comporter comme eux pour enfin être appréciée, considérée, respectée...
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et après mes supplications, mes pleurs, mes menaces, elle cède à me dire qu'elle accepte mes excuses, qu'elle tourne la page... je lui promet, lui affirme avoir réfléchi entre deux appels et avoir compris, je demande pardon... je vais peut-être mieux dormir, mais pas elle !

Et en fin d'après-midi on passe chez Sylvie et Jean-Luc.
On se baigne alors avec Justine et Louis (champion ! il est durant les vacances en stage intensif de natation à Chalon et s'entraine régulièrement deux fois par semaine... c'est son sport de prédilection et il a un excellent niveau)... finalement on reste pour dîner : chouette !

Lydie s'étonne de voir des vaches... sautille en bord de saone et court derrière les grenouilles en forêt tandis qu'on cueille du muguet...
Mardi 24 : Ce matin, il y a deux chevreuils dans le champs avant le pont...
on les observe un moment
comme d'hab, Maman fait ses emplètes... de bonnes bouteilles de rouge !
elle goûte, elle choisit...elle s'entretient avec un conseiller qui cerne bien ses préférences et lui propose de nouveaux domaines : bingo ! elle prend !
Dimanche 22 : dès 8 h 30, Maman et Tatie partent à Cagnes sur Mer pour voter... Papa a déjà voté à Juan les Pins... les filles font leurs valises : on part dans la matinée pour la Bourgogne, le quad sur la remorque, le coffre plein... ! et c'est parti ! Cabotte sur la plage arrière, dans son couffin...
On est à peine parti que Maman s'aperçoit qu'elle a laissé le chargeur de piles branché... et demi-tour droite ! ambiance dans la voiture !!!!!!!
Lundi 23 : il est à peine 9 h et je suis déjà à fond sur mon quad, vers le pont, vers les vignes... vers mes copians Raphaël, xxxxxxxxxxx
On va faire les courses pour la semaine à Attac : paté de xxxxxxxxxxxx et saucisse xxxxxxxx, puis viandes, légumes, fruits, fromages... (tout est meilleur ici : on se régale d'un simple beef haché, de la charcuterie, du fromage fort... )

au retour, on passe par les lacs de Laives et Cabotte, déjà bien campagnarde se délasse dans les herbes hautes sans crainte, elle renifle, elle s'éloigne, elle coure vers nous, elle s'éclate bien

On rentre, je fais du quad un bon moment, on dîne tous les trois et je vais faire une promenade/pipi avec Cabotte
on va à l'église St Julien, on fait le tour (entre les tombes des nobles du XIIème siecle) et on admire l'arbre bi-centenaire, les panoramas est et ouest.
après les vaches blanches (les charolaises) découvertes hier, on croise au fil des champs, des troupeaux de vaches bicolore : marron et blanc ou noire et blanc (les hollandaises)... meuhhhhh !!!!!!!!!
elle est crevée et s'endort sous le meuble de la télé, comme Hyacinthe, Rambo... dont c'est la place fétiche... Télé et dodo...
Mercredi 25 : quad le matin... vroom vroom vroom ! Papa, Maman et Cabotte viennent admirer mon coup de guidon ! mais Lydie se lasse vite de mon engin bruyant et puant et de la fumée que je fais avec mes dérapages, elle préfère explorer les vignes...

Elle est en pleine forme, toute belle, bien coiffée... on est tous très émus et heureux de se revoir ; son fils, Jean-Claude (qui travaillait l'été entre 1968 et 1971 à la station avec Papi Dédé) nous rejoint un moment...c'est très sympa. Et on rentre... belle ballade aussi.

On me dépose chez Sylvie et Jean-luc, je saute dans la, piscine... on se marre bien avec Justine et Louis. Papa et Maman rentrent à Sens car on a Cabotte dans la voiture et elle doit manger.
Papa vient me chercher vers 19 h 30 mais on ne rentre pas tout de suite, on reste alors que Maman mange seule et finalement
regarde Ségolène sur France 2... on rentre à 22 h bien passées !

Jeudi 26 : ce matin, on fait en partie la "route des vins", c'est tout droit !!!!!
on va à Meursault... on prend un bidon de 20 litres (pour ma communion) sur les conseils de Patrick, le papa de Audrey... et on poursuit la jolie route pour acheter une bouteille de Meursault Charmes pour Mamia, une bouteille de Pommard pour Papi Dédé et une bouteille de Santenay !
on leur offrira pour la fête des mères et des pères... on va préparer un paquet cadeau décoré et on y glissera les photos de "la bouteille et moi" devant les vignes du domaine même... on est sûr de faire plaisir !
Maman et Sylvie aussi... elles parlent "régime", Sylvie a perdu 10 kg depuis le 26 février et ça se voit... Maman 8, mais en a repris 1 durant la semaine précédente et c'est pas ici qu'elle va se restreindre, surtout quand il y a du pâté sur la table et du bon vin ! elle est en cure à chaque fois qu'elle vient en Bourgogne, mais rentre toujours avec des kilos en plus et des remords !
Il y a Sarko à la télé, Maman ne peut pas l'écouter et ne trouve personne pour l'entregistrer... grrr ! elle râle mais se console avec un bon petit blanc bien frais que lui fait gôuter Jean-luc qui connaît ses points faibles... !
Vendredi 27 : ce matin, papa, Maman, Cabotte et moi on va rejoindre Pierrot au Marché à Sennecey, il aide le marchand de chaussures, Maman achète une paire de sandales, Papa achète un poulet rôti avec petits légumes mijotés (pommes de terres, carottes nouvelles et haricots verts) et moi un tee-shirt... et Papa et Pierrot dégustent un rosé au stand vins...
on rentre déjeuner : on se régale ! et à 14 heures Pascale arrive... belle comme un coeur, en pleine forme, bronzée (ben ouais, elle a passé une semaine à Juan les Pins !) elle nous offre un carton de vins... woaw !
on a rendez-vous chez tata Sylvie (sa demi-soeur), à 14 h 30. A peine arrivés, je suis déjà dans la piscine avec Justine tandis que les filles regardent les photos de la maison du Sénégal et discutent sérieux... !
Puis, on passe chez Pierrot (qui est aussi le père de Pascale,comme de Christian son frère, d'un premier mariage), surpris et heureux de nous accueillir... ils parlent ensemble de leurs déboirs réciproques avec humour et positivité...
Samedi 28 : Je suis vers mes copains tandis que Papa est avec Maxime, le neuveu de Jean-Luc, à la rivière de xxxxxxxxxxxxxx, pour pêcher des nénuphars (pour notre bassin) et Maman fait les valises et le ménage !
Mes copains viennent me dire au revoir... à mon Quad surtout ! ...à cet été !

Dimanche 29 : je passe la matinée avec Papa, je ranime le conflit avec de nouvelles exigeances quant à mon problème de télé... Maman m'oblige à constater que mes promesses net mes excuses n'ont aucune valeur... elle est très remontée et on ne la voit plus de la journée jusqu'à ce que Papi Dédé et Mamia arrivent... et je mets de nouveau de l'huile sur le feu en prenant l'initiative, sous le regard complice de Papa, de leur offrir les 3 bonnes bouteilles, alors que Maman avait prévu une mise en scène plus raffinée et des dates ! bien entendu, elle me le fait remarquer, sans crier, mais avec un regard noir dans lequele on peut lire la colère, la déception et la lassitude, alors pour donner le change à ma provocation : je me mets à pleurer de manière spectaculaire, je claque les portes, jette mes affaires par terre... pour mes fans qui retournent la faute sur Maman et accourent me consoler, me donner raison et encore une fois réduire à néant les volontés et dires de ma mère en même temps que le plaisir qu'elle aurait eu à leur faire la surprise... et là elle craque

On s'installe pour manger une tarte aux pommes apportée par Mamia et Papi ouvre une bouteille de blanc pétillant, bien frais
à peine Papi finit de servir les coupes que maman a déjà vidé la sienne... cul sec et s'en ressert une, deux...
Papi demande à Papa s'il peut récupérer sa remorque (le comble, elle est à lui et il doit se déplacer pour la récupérer ! c'est la goutte qui a fait déborder le vase de Maman)
les bulles faisant effet, Maman elle parle avec Mamia (en fait, elle vide son sac, en un bref mais violent résumé) tandis que Papa et Papi cherchent un robinet dans le jardin... histoire de changer d'ambiance... fuir leur implication, ignorer leurs responsabilités... comme moi, je joue avec Athos et j'ai déjà monté mes affaires... pour partir ; en fait, j'ai bien préparé mon coup, je les ai appelé dès hier, à peine avions nous franchi le portail que je venais embrasser Tatie et surtout téléphoner à mon chevalier sur son cheval blanc : Papi Dédé... ! trop heureux de me délivrer de ma méchante mère.

Il est presque 18 h, on part, laissant Maman à son sort, j'emporte mon cartable car je n'ai pas obéï à Maman et je n'ai pas terminé mes devoirs !

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